Préparons nous !
Le refroidissement arrive !
Pour la première fois en 250 ans,
les glaciers s’étendent en Alaska !
Des preuves annonçant un refroidissement planétaire pour les trois prochaines décennies
À présent que la planète sort naturellement d’une tendance au réchauffement et se dirige vers de nouveaux « grands froids, » comme en témoigne l’arrêt quasi complet de l’activité des taches solaires, les glaciers recommencent à s’étendre !
Prison Planet, Paul Joseph Watson, 17 octobre 2008
Le projet d’instaurer une taxe mondiale sur le carbone afin de préserver la planète du réchauffement global a pris un autre coup dans l’aile après la révélation du fait que les glaciers de l’Alaska grossissent pour la première fois en 250 ans suite à un été anormalement froid.
Le Daily Tech signale que la température de 3 degrés inférieure à la moyenne cet hiver a permis à la neige de rester plus longtemps, provoquant la poussée de la masse glaciaire. Selon ce rapport :
Depuis 1946, l’USGS maintient un projet de recherche pour mesurer l’état des glaciers en Alaska. Cette année a vu battre le record d’accumulation de neige. C’est aussi la première fois depuis le début des relevés que les glaciers ne reculent pas pendant les mois d’été.
Les témoignages des plus grand retraits dans la région datent de 1741 à 1900, les glaciers ayant perdu environ 15 pour cent de leur masse totale quand la Terre a commencé à sortir de la période climatique connue sous le nom de Petit Âge Glaciaire.
Corrigez-moi si je me trompe, mais le CO2 des voitures et des jumbo jets n’était pas très banal aux 18ème et 19ème siècles.
Et à présent que la planète sort naturellement d’une tendance au réchauffement et se dirige vers de nouveaux « grands froids, » comme en témoigne l’arrêt quasi complet de l’activité des taches solaires, les glaciers recommencent à s’étendre.
Quelques années de plus de croissance des glaciers en Alaska « pourraient marquer le début d’un autre Petit Âge Glaciaire, » note le rapport.
L’expansion des glaciers fait suite à un événement similaire en Arctique, qui a vu sa couverture glaciaire s’élargir de deux fois la taille de l’Allemagne l’année dernière, un gain d’environ treize pour cent, suite à une année plus froide qu’à l’ordinaire.
Les partisans d’un réchauffement planétaire du fait de l’homme se sont efforcés de minimiser ces exemples en les qualifiant d’aberrations bravant la grande tendance au réchauffement, mais, en réalité, aucun réchauffement planétaire n’est constaté depuis au moins 1999 ou même 1995, comme le maintient le professeur Jarl R. Ahlbeck de l’université de Finlande.
Les signes du fait que la planète marche en silence vers le début d’un nouveau mini âge glaciaire continuent à se manifester suite aux tempêtes de grêle sans précédent au Kenya, ainsi qu’au mois d’août le plus froids en 60 ans que Sydney ait connu.
Le coup de froid arrive en conséquence d’un événement important sur le Soleil, non observée en 100 ans : le mois d’août entier s’est passé sans qu’une seule tache solaire n’ait été remarquée.
L’absence d’activité solaire en 2008 coïncide avec des signes de tendance au refroidissement dans le monde entier.
Plus tôt cette année, la Chine a enduré son hiver le plus froid en 100 ans, tandis que l’Amérique du Nord était frappée par un niveau record de neige et que la Grande-Bretagne subissait les Pâques les plus froides depuis des décennies, la floraison tardive des jonquilles étant battue en neige par la grêle presque chaque jour. Les Britanniques abandonnent aussi de grands espoirs envers le réchauffement planétaire, avec les températures de juin et juillet arrivant rarement à atteindre plus de 16 degrés et même en une occasion tombant jusqu’à 9 degrés en milieu d’après-midi.
De nombreuses régions des États-Unis ont connu leur mois d’avril le plus froid enregistré. Le Canada avait le troisième plus froid mois d’avril depuis 1970.
« La chaleur estivale continue à se faire désirer, s’entêtant dans une tendance qui a dominé une grande partie de la décennie d’inauguration du 21ème siècle, » rapporte le Chicago Tribune. « Il y a eu à peine 162 jours à 90°F (32,2°C) ou au-dessus à l’aéroport de Midway dans la période entre 2000 et 2008. C’est de loin le plus petit nombre de jours avec des températures à 32,2 degrés dans les neuf ans du début de toute décennie enregistrée depuis 1930. »
Selon un rapport d’Associated Press, le Farmers Almanac [almanach des fermiers] prévoit maintenant aussi « des températures en-dessous de la moyenne dans la majorité des Etats-Unis. » Les prévisions de la publication, qui sont données deux ans à l’avance, bénéficient d’un taux d’exactitude de 85 pour cent.
Selon un rapport du mois dernier de la World Meteorological Organization, le premier semestre 2008 est le plus froid depuis au moins cinq ans, et il ajoute qu’il pourrait être en fait le plus froid depuis 2000 !
Réchauffement climatique : de hauts scientifiques japonais
remettent en cause la version officielle
L’Observatoire francophone suit régulièrement l’avancée des travaux sur le Réchauffement climatique avec pour question centrale la suivante : ce réchauffement climatique est-il le fait de l’Homme (à grande échelle) ou est-il du à d’autres causes externes (rayonnement solaire notamment) ?
Car de cette question centrale découlent de nombreuses autres questions sous-jascentes, et l’utilisation du Réchauffement climatique par les forces nouvel-ordre-mondialistes est une aubaine médiatico-politique : elle permet notamment de détourner les vrais enjeux actuels de la pollution qui sont catastrophiques pour la santé : pollution par des produits chimiques et phyto-sanitaires, pollution par des particules cancérigènes (diesels notamment) ou par des vapeurs cancérigènes (benzène pour l’essence), pollutions des sols, des airs et des eaux (lacs, fleuves, océans, etc…) directement liées au mode productiviste et ultra-capitaliste défendu par les promoteurs du NWO.
Pub W.W.F réchauffement climatique
Cette affaire du réchauffement climatique permet aussi de culpabiliser les peuples et de leur proposer des alternatives pro-NWO telles que le Nucléaire qui, malgré toutes les études montrant ses dangers extrêmes (prolifération nucléaire, risques d’explosions comme Tchernobyl, fuites radioactives multiples, déchets nucléaires ultimes, etc..), est présenté comme LA solution miracle au réchauffement climatique :
En faisant croire que le réchauffement climatique est devenu un danger immédiat, les planificateurs du NWO peuvent imposer l’énergie nucléaire en toute quiétude malgré les risques mis en évidence par Tchernobyl.
Alors que beaucoup de pays s’étaient détournés du nucléaire, ils font désormais demi-tour sous la pression des médias et d’une partie (certes importante mais largement adoubée) de la communauté scientifique agitant le chiffon rouge du réchauffement climatique : ainsi l’Italie vient d’annoncer la construction de nouveaux réacteurs nucléaires avec Areva. Bien d’autres pays devraient suivre dans cette recrudescence du nucléaire, France et Etats-Unis en tête…
Les élites pro-NWO veulent impérativement imposer le nucléaire pour de multiple raisons : maitriser l’atome, pensent-ils, c’est maitriser le pouvoir. Le nucléaire civil est développé en très étroite collaboration avec le nucléaire militaire… Le nucléaire permet aussi un contrôle pyramidal de la production d’énergie, une organisation incontournable dans la perspective d’un Nouvel Ordre Mondial.
A l’inverse, les énergies alternatives représentent une organisation éclatée et démocratique, avec des sources diversifiées, implantées de plus en plus souvent dans les communes, les entreprises, voire chez les particuliers, et sont donc opposées opérationnellement à la structure pyramidale pro-NWO.
En déclarant qu’il y a urgence à développer le nucléaire pour cause de réchauffement climatique, les élites pro-NWO jouent sur velours face à l’opinion publique.
De plus, le réchauffement climatique permet la création d’une communication mondiale, avec tout ce que cela sous-entend en terme d’agenda nouvel-ordre-mondialiste :
Danger mondial = Communication mondiale = Organisme de contrôle mondial = NWO.
C’est dans ce contexte de propagande incessante sur le réchauffement climatique causé par l’Homme qu’un grand institut japonais a rendu un rapport estimant au contraire que l’Homme n’aurait pas d’incidence réelle dans le réchauffement constaté ces dernières décennies, et que ce réchauffement climatique serait stoppé depuis le début du XXIe Siècle.
Pour la JSER (la Société Japonaise des Ressources et de l’énergie), le réchauffement climatique de ces dernières décennies serait un réchauffement purement cyclique, et soumis principalement à l’activité solaire.
Cette étude de très haut niveau a été publiée dans le magazine scientifique britannique the Register.
Bien évidemment, si cette explication était la bonne, cela remettrait en cause tout l’édifice nouvel-ordre-mondialiste créé par les planificateurs du NWO en matière d’environnement.
Cela remettrait en cause la résurgence accélérée du nucléaire au détriment notamment des énergies renouvelables, cela remettrait en cause les invocations à créer des Instituts de contrôle internationaux ayant des pouvoirs de police étendus, etc.. etc..
Et cela remettrait en perspective les autres dangers, bien plus importants, du développement ultra-libéral de notre Monde tels que les pollutions multiples et les gabegies innombrables.
Alors face à 2 explications radicalement opposées sur
un même phénomène plus ou moins avéré, qui croire ?
Il est encore trop tôt pour se prononcer pour telle ou telle explication, mais on sait que la version la plus NWO-favorable est sans aucun doute et pour les multiples raisons exposées ci-dessus celle de la responsabilité de l’Homme dans le réchauffement climatique.
En attendant davantage d’informations, à chacun et chacune de se forger son opinion.
Un physicien de la marine américaine avertit
de « plusieurs décennies de températures en chute libre »
et « d’une famine mondiale »
Citation:
« Le soleil est désormais très calme
passe au Cycle Solaire 24. »
« Comme la transition actuelle dépasse maintenant les 568 jours sans taches (solaires), il est de plus en plus clair que le soleil a subi un changement d’état. Il est maintenant évident que l’état de Grand Maximum qui a persisté durant la plus grande partie du 20ème siècle touche brutalement à sa fin.
(Le soleil) pourrait (1) revenir aux anciens cycles solaires (2) le soleil pourrait se calmer encore davantage au cours d’un « Minimum de Dalton » ou d’un Grand Minimum comme le « Minimum de Maunder ». Il est encore un peu tôt pour prédire de quel côté la balance penchera. Ces deux possibilités sont une grande menace pour notre pays.
« Nous sommes désormais à la croisée des chemins. Deux voies se présentent à nous. Sur les deux il y a un panneau indiquant » Danger » ! D’un côté il y a de monstrueuses tempêtes solaires. De l’autre, plusieurs décennies des températures en chute libre et une famine mondiale. »
« Le changement climatique est principalement commandé par la nature. C’était vrai du temps de mon père, de son propre père et de tous ceux qui sont venus avant nous. Grâce à la science, pas la pseudo-science, nous avons lentement découvert certains des mystères fondamentaux de la nature. Notre galaxie, la Voie Lactée, est inondée de rayons cosmiques. Ce sont des particules chargées très rapides qui viennent de l’explosion d’étoiles.
« Comme elles sont chargées, leur déplacement est fortement influencé par les champs magnétiques. Notre soleil produit un champ magnétique enveloppé dans des vents solaires qui s’étendent jusqu’aux confins de notre système solaire. Ce champ dévie nombre de rayons cosmiques de la Terre. Mais lorsque le soleil se calme (tâches solaires minimales), ce champ s’effondre vers l’intérieur ce qui laisse les rayons cosmiques à haut énergie pénétrer plus profondément dans notre système solaire.
Comme je le dis dans Magnetic Reversals and Evolutionary Leaps,
ces mêmes rayons cosmiques peuvent conduire à des mutations et bonds évolutifs.
« Par conséquent, ces rayons cosmiques sont beaucoup plus nombreux à frapper la Terre et pénétrer dans l’atmosphère inférieure où ils ionisent de petites particules d’humidité, les transformant en gouttelettes d’eau, qui deviennent ensuite nuages. Les nuages de basse altitude reflètent la lumière de soleil dans l’espace. Une augmentation de la couverture nuageuse de la Terre produit une chute mondiale de la température.
« Si le soleil se calme davantage que lors des précédents cycles solaires, produisant plus de 1028 jours sans taches, alors nous pourrions glisser dans un Minimum de Dalton ou peut-être même dans un Grand Minimum comme le Minimum de Maunder. Cet état du soleil durera des décennies. Plusieurs spécialistes du soleil ont prédit que cela débuterait au Cycle Solaire 25, dans une décennie. Mais quelques uns l’ont prédit pour le Cycle Solaire 24.
« Un soleil calme fait plonger les températures mondiales. Nous aurons à subir des températures que nous n’avons pas connues en 200 ans d’âge, depuis le temps des premiers pionniers.
« Les températures baissent déjà. Les satellites fournissent généralement les mesures de températures les plus exactes dans le monde entier. Depuis l’année record 1998, les températures de la troposphère inférieure ont baissé mondialement d’environ 1/2 degré Celsius à cause du soleil.
« Cela, en dépit du fait que pendant la même période de temps, le dioxyde de carbone atmosphérique (à Mauna Loa) a monté de 5%, de 367 ppm à 386 ppm. Le risque principal d’un « Minimum de Dalton » ou d’un « Minimum de Maunder » est la faim et la famine (pour des millions ou centaines de millions dans le monde entier) à cause de la période de pousse raccourcie et des rudes conditions météo. Par le passé, en plus de grandes famines, ce temps froid et rude a également conduit à des épidémies majeures.
Sur les grande périodes de temps géologiques, c’est la dérive des continents qui est majeur pour expliquer le bilan du CO2 et de l’effet de serre, mais pour de très courtes périodes de temps, allant de quelque centaines de millier d’années, et bien ce sont les corrélations astronomique qui domine !
Ce qui caractérise la notre, concernant la corrélation des cycles astronomiques, et bien nous sommes dans une situation de forte excentricité et d’une corrélation de l’axe de rotation (précession des équinoxe qui varie de 30 degrés (changement de constellation sur le zodiaque) en 2000 ans en moyenne à la vitesse de 1 dégrée tout les 72 ans en moyenne) avec le périhélie de l’orbite terrestre (que nous venons de dépasser voilà près de 722 ans), cette corrélation ou la terre est plus près du soleil mais son angle de rotation qui est aligner vers l’extérieur par rapport au soleil, indique que théoriquement nous devrions entrer dans quelque millénaire, dans un nouveau cycle de refroidissement ! Puisque que la terre s’éloignant du plus fort rayonnement (au périhélie) versus son axe très incliné par rapport a son orbite. Hivers plus long avec moins de précipitation l’été et moins de gèle qui retient les glace par rapport a leur vitesse de fonde l’été qui est plus court (et moins humide). Le tout devrait donc commencer a fondre (période interglaciaire) !
Dans 13 000 ans on sera dans le phénomène inverse, CAD que l’axe de rotation sera aligné vers le sens opposé du soleil à l’Alphélie de son orbite (le point plus éloigné) et donc vers une situation d’optimum pour le facteur de refroidissement ! (l’entré dans une nouvelle ère glacière). Il fera plus chaud l’été (notre hivers actuelle) mais la période froide sera de beaucoup plus longue (grand contraste de température sur de très courte période de temps) ce qui va favoriser l’accumulation des glace (favorisant l’albédo) par les précipitation estivale des zones tempérer ! D’ici là nos été devrait raccourcir d’autant !!!!!! Mais plus d’albédo veut dire aussi plus de réflexion vers l’espace et donc de diminution du rapport thermique servant a chauffé les sols !
L’effet est combiné (il y a superposition de la hausse des température par l’augmentation du CO2 qui suit par la suite les paramètres d’insolation), mais on ne peut pas dire que la hausse de température est essentiellement dut par les cycles solaire de Hallstattzeit et de Suess, maintenant cela ne veut pas dire que le cycle soit la cause principale de l’augmentation, mais par contre la température va suivre et fluctué selon ces cycles (la température est obliger de suivre les relations d’insolation), la température sera entrainer dans le mouvement globale avec tout les cycle (ne dépassant pas 1% de l’activité solaire, soit moins de 0.1 degrés). Mais les cycles de Hallstattzeit et de Suess, n’explique pas la corrélation actuelle entre la forte hausse du CO2 avec la hausse brutale des températures de près de 1 degré depuis 1860, car ce cycle indique des variation de périodicité faible de température (de -0.1 à -0.4°C) de part le passer. Le CO2 agit comme agent amplificateur sur le réchauffement (contraire au cycle du passer ou l’insolation des cycles était dominant) et tout les autres cycles vont incorporer cette amplification.
Voici ce que j’ai trouver sur les différent cycle solaire :
http://climatevolution.free.fr/ii1.html
Le cycle de Schwabe : Cycle des tache solaire de 11,2 ans (entre 8 et 13 ans) variant de 10% entre le maxima et minima et de 0.1 en de l’intensité du rayonnement. (cycle de Hale sur l’inversion magnétique de 22 ans qui a débuté en 1986)
Le cycle de Gleissberg : Cycle de 80 a 90 ans attribuer a la variation du diamètre solaire, et a des effets sur l’amplitude du cycle de Schwabe.
Le cycle de Suess : Cycle oscillant entre 150 et 200 ans. Relié a la concentration du C 14 (effet du rayonnement cosmique et solaire sur l’azote). Son minimum s’observerait par le cycle des minimum périodique de Schwabe.
Le cycle d’Hallstattzeit : Cycle de 2300 ans.
- (1645 – 1715 « petit âge glaciaire » ) Minimum de Maunder (minima de Suess) coïncide exactement avec le dernier minima du cycle de Hallstattzeit (2300 ans). et le minimum de Spörer (1420-1530), Wolf (1280-1340), de Oort (1010-1050) et de Dalton (1795 à 1830). La distance moyenne entre ces minimums est de 190 ans, ce qui les fait coïncider avec le cycle de Suess.
Ce qui fait qu’en 3950 il pourrait y avoir un prochain petit âge glaciaire (un petit refroidissement suivant l’insolation du cycle, mais avec le CO2 grimpant et bien le tout sera au réchauffement, c’est moi qui précise !!!). Actuellement le cycle de Hallstattzeit est croissant et son maximum devrait être atteint vers l’an 2800. Certains chercheurs pensent que cela pourrait être la cause ou une des causes du réchauffement de la Terre.
Période Glacière du quaternaire
- -600.000 : Période glaciaire de Günz
- -540.000 Razzériode interglaciaire Günz Mindel
- -480.000 : Période glaciaire de Mindel
- -430.000 : Période interglaciaire Mindel Riss
- -240.000 : Période glaciaire de Riss
- -180.000 : Période interglaciaire de Riss Würm
- -120.000 : Période glaciaire de Würm
- -10.000 : Période interglaciaire
Permettez moi, avant d’aborder le sujet de cette page un peu iconoclaste, un petit prologue destiné à introduire les méthodes scientifiques alternatives à celle du GIEC qui, comme vous le savez, est basée sur les projections données par les ordinateurs. Ces dernières font la manchette des journaux alarmistes et prédisent une élévation constante de la température de la planète dans les années qui viennent…
Mais (on ne vous le dit jamais), il y a deux manières, très différentes, d’aborder les sciences du climat, la climatologie. Or, ces deux approches conduisent à des résultats et à des prévisions diamétralement opposées…
Voyons cela :
La première de ces méthodes, mise en avant par les climatologues du GIEC et ses adeptes et dont on vous rebat les oreilles en vous affirmant qu’elle est incontournable, repose sur l’utilisation exclusive de modèles d’ordinateurs dits GCM (Global Circulation Model ou modèles de circulation générale). C’est ce que l’on appelle des modèles « déterministes » en ce sens que l’on présuppose que l’on est capable d’élaborer des simulations numériques du climat du temps présent et du futur, à partir des tout premiers principes.
Cela suppose que l’on a tout compris des mouvements de l’atmosphère et des océans et que l’on sait tout sur les équations et les multiples paramètres qui influencent le climat et aussi, sur les nombreuses réponses (rétroactions) positives ou négatives des différents composantes de la planète (terres, océans, biotas etc.). Ce sont ces modèles déterministes qui sont utilisés, en particulier et parmi bien d’autres, par les ingénieurs de Météo-France qui ont extrapolés les modèles classiques utilisée par la météorologie (tel que ARPEGE-climat qui est un avatar de ARPEGE météorologie) pour essayer de prédire le climat… dans cent ans. Compte tenu de l’extraordinaire complexité du problème climatique et du grand nombre d’inconnues, il est clair pour des milliers de scientifiques rigoureux que le résultat d’un tel exercice ne peut-être qu’extrêmement hasardeux (voir ici). Cette méthode aboutit, en général, à ce que l’on appelle des « projections » ou encore à des « scénarios » et non à des « prévisions » comme beaucoup le pensent, à tort.
La seconde méthode est la méthode empirique. Elle consiste à étudier les variations climatiques du temps passé et à essayer de trouver d’éventuelles périodicités dans ces évolutions ou des corrélations entre les variables du climat, comme la température, et les quantités réellement observables (telles les caractéristiques des océans où des éruptions solaires, par exemple). Ces méthodes, car il y en a plusieurs, sont basées fondamentalement sur les sciences de l’observation et non pas sur les projections, plus ou moins virtuelles, fournies par les ordinateurs. Cette méthode ne présuppose pas la connaissance détaillée de la totalité des multiples processus qui influencent le climat. Elle se contente d’observer et d’extrapoler.
A noter que cette distinction entre ces deux approches, très différentes, de la science climatique, n’est absolument pas propre à cette dernière. On retrouve actuellement cette dualité dans pratiquement toutes les sciences des systèmes complexes. La première méthode est toute récente. Elle procède des énormes progrès accomplis par les ordinateurs durant ces dernières décennies. La seconde est la méthode traditionnelle, classique. C’est celle qui a permis à la Science d’accomplir les immenses progrès que nous connaissons. C’est celle de Louis Pasteur ou de Claude Bernard, parmi d’autres. Ainsi, le débat actuel qui oppose les tenants de l’effet de serre anthropogénique et les « sceptiques », ou plutôt, les « rationalistes » n’est pas seulement un débat scientifique habituel. Il reflète aussi le débat, plus vaste encore, qui oppose, dans les sciences de la complexité, les tenants des sciences de l’observation à ceux des simulations numériques par ordinateur.
Peu d’entre vous connaissent la grande diversité des projections modérément alarmistes des ordinateurs du GIEC. Par contre, tout le monde connaît les prévisions catastrophiques du bureau politique du GIEC, répercutées et amplifiées au centuple par les journaux, les télévisions, les écologistes, Al Gore etc. qui s’en font quotidiennement l’écho au point que beaucoup commencent à se lasser de ce matraquage en règle, qui constituera un précédent dans l’Histoire avec des conséquences sans doute désastreuses.
Mais personne, à l’exception de quelques milliers de scientifiques vigilants, ne connaît les prévisions ou les projections des autres modèles empiriques qui pourtant ont été élaborées dans les règles de la plus stricte rigueur scientifique…Et de fait, ces projections, ces prévisions, ne satisfont pas la soif des médias et des écologistes pour les nouvelles alarmistes. Pourtant, elles le devraient, car ces méthodes qui utilisent l’observation et les faits réels, prédisent unanimement que nous allons vers un REFROIDISSEMENT de la planète dans les années qui viennent, comme on le craignait en 1977 (ci-contre, une couverture du Times Magazine et voir cette page) . Et nous avons beaucoup plus à craindre du froid que du chaud…
Examinons successivement quelques indications qui vont dans le sens d’un prochain refroidissement.
Des preuves annonçant un refroidissement planétaire
pour les trois prochaines décennies
Par Prof. Don J. Easterbrook
Mondialisation.ca, Le 11 novembre 2008
Département de géologie, Université Western Washington
Don J. Easterbrook, Professor Emeritus
(360) 650-3583; don.easterbrook@wwu.edu
L’article ci-dessous présente un point de vue et une analyse différents des changements climatiques qui contredit le consensus dominant sur le réchauffement planétaire.
Le Centre de recherche sur la mondialisation n’endosse pas forcément la proposition d’un refroidissement planétaire, pas plus qu’il n’accepte d’emblée le consensus sur le réchauffement planétaire. Notre objectif est d’encourager un débat plus équilibré au sujet des changements climatiques.
Malgré l’absence de réchauffement climatique en dix ans, et des records de froid en 2007-2008, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et les créateurs de simulateurs informatiques qui croient que le CO2 est la cause du réchauffement planétaire prévoient toujours que la terre fera face à un réchauffement catastrophique au cours du prochain siècle. Les simulateurs informatiques du GIEC ont prédit un réchauffement planétaire de 1° F par décennie et de 5-6° C (10-11° F) d’ici 2100 (Fig. 1), ce qui causerait une catastrophe planétaire ayant des effets sur la vie humaine, l’habitat naturel, l’énergie et les ressources en eau, ainsi que la production de nourriture. Tout cela se fonde sur l’hypothèse que le réchauffement planétaire est causé par l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère et que cette augmentation s’accélérera.
Températures terrestres depuis 400 000 ans
La figure suivante montre distinctement pendant 400 000 ans les variations de la température en bleu et du CO2 en rouge
(mesures faites sur des carottages de glace à Vostok, base scientifique russe implantée en Antarctique):
Figure 1. A. Prédiction du GIEC sur le réchauffement planétaire au début du 21e siècle. B. Une prédiction du GIEC sur le réchauffement planétaire jusqu’en 2100. (Sources: site Web du GIEC)
Figure 1. B. Une prédiction du GIEC sur le réchauffement planétaire jusqu’en 2100.
(Sources: site Web du GIEC)
Toutefois, les données sur les changements climatiques enregistrées par le passé suggèrent un scénario complètement différent pour le 21e siècle. Au lieu d’un réchauffement planétaire radical, à un rythme de 0,5 ° C (1° F) par décennie, les données des cycles naturels précédents suggèrent un refroidissement planétaire pour les premières décennies du 21e siècle, soit jusqu’en 2030, suivi d’un réchauffement planétaire de 2030 à 2060 et d’un nouveau refroidissement planétaire de 2060 à 2090. (Easterbrook, D.J., 2005, 2006a, b, 2007, 2008a, b); Easterbrook et Kovanen, 2000, 2001). Les fluctuations climatiques des dernières centaines d’années suggèrent des cycles climatiques de réchauffement et de refroidissement d’environ 30 ans, une tendance généralement à la hausse depuis le Petit Âge glaciaire.
PRÉDICTIONS BASÉES SUR
LES CYCLES CLIMATIQUES PRÉCÉDENTS.
Les changements planétaires ont été beaucoup plus intenses (de 12 à 20 fois plus intenses dans certains cas) que le réchauffement planétaire du siècle dernier, et ils ont eu lieu en l’espace de 20 à 100 ans. Le réchauffement planétaire du siècle précédent (0,8° C), est pratiquement insignifiant comparativement à l’ampleur d’au moins 10 changements climatiques planétaires des derniers 15 000 ans. Aucun de ces brusques changements climatiques planétaires n’a pu être causé par le rejet de CO2 humain dans l’atmosphère, car ils ont tous eu lieu bien avant que commence l’émission de CO2 anthropogène. La cause des dix changements climatiques « naturels » précédents était fort probablement la même que celle du réchauffement planétaire de 1977 à 1998.
Figure 2. Les changements climatiques des 17 000 dernières années provenant du noyau de glace de l’Islande GISP2. Rouge = réchauffement, bleu = refroidissement. (Modifié de Cuffy et Clow, 1997)
Les fluctuations climatiques de plusieurs siècles précédents suggèrent des cycles climatiques de réchauffement et de refroidissement d’environ 30 ans (Figure 3), une tendance généralement à la hausse depuis le Petit Âge glaciaire il y a 500 ans.
Figure 3. Alternance de cycles froids et chauds depuis 1470 apr. J.C. Bleu = froid, rouge = chaud. Basé sur les stades isotopiques de l’oxygène prélevés sur le noyau de glace de l’Islande GISP2.
Relations entre les fluctuations glaciaires, l’oscillation pacifique décennale (OPD), et les changements climatiques planétaires.
Après plusieurs années d’études sur les fluctuations des glaciers alpins dans le nord de la chaîne des cascades, mes recherches ont démontré un cycle précis d’avancée et de recul glaciaire (oscillation glaciaire décennale OGD) qui correspondait avec les données climatiques.
En 1992, Mantua a publié la courbe démontrant un réchauffement et un refroidissement de l’océan Pacifique concordant à merveille avec les fluctuations glaciaires. À la fois l’OGD et l’OPD correspondaient avec les données des températures planétaires et étaient de toute évidence reliées (Fig. 4).
Tous les changements sauf celui des 30 dernières années se sont produits avant l’émission significative de CO2, et n’avaient donc aucun lien avec le CO2 atmosphérique.
Figure 4. Corrélation entre l’OGD l’OPD et les variations de température planétaires.
La corrélation entre l’OGD l’OPD et la température planétaire est importante, puisque une fois cette connexion établie, on peut comprendre les changements climatiques du siècle précédent et reconstruire les cycles des fluctuations climatiques des derniers millénaires. Ces cycles peuvent alors être utilisés pour prévoir les futurs changements climatiques. En 1998, en me basant sur le cycle établi pour plusieurs centaines d’années passées, j’ai prévu la courbe de température pour le siècle précédent jusqu’au prochain siècle. Je suis arrivé à une courbe « A », dans la figure 5, soit une approximation de ce qui attend la planète si le cycle de changements climatiques se poursuit. Ironiquement, cette prévision a été faite durant l’année la plus chaude des trois dernières décennies et à l’acmé de la période chaude de 1977-1998. À cette époque, la courbe prévue indiquait un refroidissement planétaire débutant vers 2005 ± 3-5 ans jusqu’à 2030 environ, suivie d’un nouveau réchauffement d’environ 2030 à 2060 (sans lien avec le CO2, seulement une continuité du cycle naturel), puis d’une autre période froide d’environ 2060 à 2090. Il s’agissait d’une approximation, mais elle était radicalement différente du 1° F de réchauffement par décennie prévue par le GIEC.
Figure 5. Prévision de la température planétaire pour le prochain siècle, basé sur les cycles de réchauffement/refroidissement des siècles précédents. La prévision « A » se base sur la supposition que la prochaine phase de refroidissement sera semblable à celle de 1945 à 1977. La prévision « B » suppose que la prochaine phase de refroidissements sera comparable à celle de 1880 à 1915. Le cycle de réchauffement prévu de 2030 à 2060 est fondé sur celui de 1977 à 1998 et la période de refroidissement de 2060 à 2090 sur le cycle de refroidissement de 1945 à 1977.
Puisque cette prévision était si différente de celle du GIEC, c’est le temps qui allait démontrer, ultimement, quelle prévision était exacte.
Une décennie plus tard, le climat planétaire n’a pas augmenté d’un fahrenheit, tel que prédit par le GIEC, mais a légèrement refroidi jusqu’en 2007-20008, lorsque les températures planétaires se sont mises à descendre brusquement. En 2008, l’imagerie satellite de la NASA (Figure 6) confirmait que l’océan Pacifique était passé du mode réchauffement, sur lequel il était depuis 1977, à son mode refroidissement, comparable au refroidissement planétaire de 1945 à 1977. Ce changement suggère fortement que les prochaines décennies seront plus froides, non pas plus chaudes, tel que le prévoit le GIEC.
Implications de l’OPD, l’ONA, l’OGD, et les cycles des taches solaires sur le climat planétaire dans les prochaines décennies.
Les prévisions du GIEC relativement aux températures planétaires, 1° F de plus d’ici 2011 et 2° F d’ici 2038 (Fig. 1), ont peu de chances de s’avérer. L’imagerie de la NASA indique que l’oscillation pacifique décennale (OPD) a commencé sa phase de refroidissement exactement au moment prévu par les changements climatiques et les OPD précédents (Easterbrook, 2001, 2006, 2007). L’OPD dure habituellement 25 à 30 ans et donne à l’Amérique du Nord un climat frais et humide lors de ses périodes froides et un climat chaud et sec pendant ses phases chaudes. La formation d’une OPD froide en même temps qu’une oscillation atlantique nord (OAN) froide confirme un refroidissement planétaire de plusieurs décennies et la fin de la phase chaude des 30 dernières années. Cela signifie également que les prévisions du GIEC annonçant un réchauffement planétaire catastrophique au cours du présent siècle étaient très inexactes.
Le passage de l’OPD de la phase froide à la phase chaude en 1977 a déclenché un réchauffement planétaire de plusieurs décennies L’OPD est maintenant passée de son mode chaud (auquel elle était depuis 1977) à son mode froid. Tel qu’indiqué sur le graphique ci-dessus, chaque fois que cela s’est produit dans le dernier siècle, la température planétaire a suivi. La carte du haut montre des températures océanes froides en bleu, (notez la côte ouest nord-américaine). Le diagramme du bas montre comment l’OPD a alterné entre les modes chaud et froid durant le dernier siècle, entraînant chaque fois les températures ave elle. La comparaison du réchauffement et du refroidissement planétaire du siècle précédent avec l’OPD, l’OAN, les fluctuations glaciaires et l’activité des taches solaires montre de très fortes corrélations et fournit une base de données solide pour les futures prévisions relatives aux changements climatiques.
L’océan Pacifique a deux modes thermiques, un chaud et un froid, et au cours du dernier siècle, il est passé de l’un à l’autre tous les 25 à 30 ans (ce phénomène est s’appelle l’oscillation pacifique décennale (OPD)). En 1977, le Pacifique est passé soudainement de sa phase froide (dans lequel il était depuis environ 1945), à sa phase chaude, déclenchant alors le réchauffement planétaire de 1977 à 1998. La corrélation entre l’OPD et le climat planétaire est un fait établi. Le Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA a annoncé que l’OPD était passée à sa phase froide, exactement au moment prévu par les changements climatiques et les OPD précédentes. (Easterbrook, 2001, 2006, 2007). L’OPD dure habituellement 25-30 ans et donne à l’Amérique du Nord un climat frais et humide lors de ses périodes froides et un climat chaud et sec pendant ses phases chaudes. La formation d’une OPD froide en même temps qu’un refroidissement de l’oscillation atlantique nord (OAN) confirme un refroidissement planétaire de plusieurs décennies et la fin de la phase chaude des 30 dernières années.
Figure 6. Le passage de l’OPD de la phase froide à la phase chaude en 1977 a déclenché un réchauffement climatique de plusieurs décennies. L’OPD est maintenant passée de sa phase chaude (dans laquelle elle était depuis 1977) à sa phase froide. Tel que l’indique le graphique ci-dessus, chaque fois que cela s’est produit au cours du dernier siècle la température planétaire a suivi. La carte du haut montre des températures océanes froides en bleu (notez la côte ouest nord-américaine). Le diagramme du bas montre comment l’OPD a alterné entre les modes chaud et froid durant le dernier siècle, entraînant chaque fois les températures avec elle. Les prévisions basées sur le cycle précédent (complètement à droite du graphique) annoncent 30 ans de refroidissement planétaire.
La comparaison du réchauffement et du refroidissement planétaire du siècle précédent avec l’OPD, l’OAN, les fluctuations glaciaires et l’activité des taches solaires montre de très fortes corrélations et fournit une base de données solide pour les futures prévisions relatives aux changements climatiques. Les données cumulées au cours du dernier siècle sur le cycle des OGD et des OPD, lequel correspond au réchauffement et au refroidissement planétaire, démontrent que ce cycle relève d’un autre cycle continu de réchauffement et de refroidissement d’une durée de 25 à 30 ans. La phase de refroidissement planétaire de 1880 à 1910, caractérisée par une avancée glaciaire à travers le monde, a précédé le passage à la phase chaude de l’OPD pour une période de 30 ans, un réchauffement planétaire et un recul glaciaire accéléré. La phase froide de l’OPD est revenue vers 1945, accompagnée d’un refroidissement planétaire et d’une avancée glaciaire pour une trentaine d’années. Le passage à la phase chaude de l’OPD en 1977 a provoqué le réchauffement planétaire et le recul des glaciers jusqu’en 1998. Puisqu’on a récemment confirmé que l’OPD a débuté sa phase froide exactement au moment prévu, et puisqu’on peut assumer que ses effets seront les mêmes que par le passé, on peut s’attendre à ce que le climat planétaire refroidisse pour les prochaines 25 à 30 années. Le réchauffement planétaire du présent siècle est tout à fait en phase avec le schéma climatique normal de réchauffements et de refroidissements cycliques. Nous sommes maintenant passés d’un épisode chaud à un épisode froid au moment prévu (Fig.5).
Les ramifications du cycle de refroidissement planétaire des 30 prochaines années ont une portée considérable, par exemple, la perte des récoltes dans des régions agricoles indispensables (ce qui s’est déjà produit cette année), l’augmentation de la demande en énergie, les difficultés reliées au transport et la modification de l’habitat. Durant cette même période, la population mondiale augmentera de six milliards à environ 9 milliards. Le vrai danger dans le fait de dépenser des billions de dollars pour tenter de réduire le CO2 atmosphérique est qu’il restera peu de ressources pour régler les problèmes réels engendrés par le refroidissement climatique.
CONCLUSIONS
Le réchauffement planétaire (c’est-à-dire le réchauffement depuis 1977) est terminé. L’augmentation infime de CO2 anthropogène dans l’atmosphère (0.008%) n’était pas la cause du réchauffement. Il s’agissait de la continuité de cycles naturels qui se sont produits au cours des 500 dernières années.
L’épisode froid de l’OPD a remplacé l’épisode chaud dans l’océan Pacifique, ce qui nous garantit environ 30 ans de refroidissement planétaire, peut-être plus intense que celui de 1945 à 1977. Ce qui est incertain, c’est à quel point le climat planétaire sera plus froid durant cette période. Les récents changements solaires suggèrent que le refroidissement pourrait être assez important. Il ressemblerait davantage au cycle froid de 1880 à 1915 qu’à celui, plus modéré, de 1945 à 1977. Un refroidissement plus draconien que ces derniers, comparable à ceux des minima de Dalton et Maunder, pourraient plonger la Terre dans un autre Petit Âge glaciaire. Toutefois, seul le temps dira si cela est probable ou non.
Article original en anglais, Global Cooling is Here, Evidence for
Predicting Global Cooling for the Next Three, publlié le 2 novembre 2008.
Traduit par Julie Lévesque pour Mondialisation.ca.
Don J. Easterbrook est professeur émérite de géologie à l’Université Western Washington à Bellingham, WA.
Il a publié abondamment sur les sujets liés aux changements climatiques. Pour plus de détails voir la liste de ses publications.
Articles de Don J. Easterbrook publiés par Mondialisation.ca
La fin du réchauffement climatique ?
Des météorologues russes faisant autorité estiment que le réchauffement climatique observé depuis longtemps va prendre fin, rapporte le site inauka.ru.
Le professeur Lev Karline, recteur de l’Université d’hydrométéorologie de Saint-Pétersbourg, qui est également un Centre régional de formation de l’Organisation météorologique mondiale, estime que le réchauffement climatique touche à sa fin.
Le point de vue le plus répandu parmi les chercheurs, explique Lev Karline, est que le climat a eu, au cours des 150 dernières années, une tendance marquée à un réchauffement progressif. Et les modèles mathématiques donnent quelque raison à certains apologistes de cette thèse de décréter le caractère inévitable d’un prochain réchauffement de notre planète. D’aucuns n’excluent pas de leurs prévisions des scénarios apocalyptiques d’élévation de la température du globe de deux ou trois degrés Celsius dans les toutes prochaines années, avec l’ensemble des conséquences en découlant pour notre environnement.
Mais il existe aussi d’autres points de vue, diamétralement opposés, défendus notamment par les chercheurs de notre Université, poursuit Lev Karline. « Les modifications climatiques que nous avons observées ces cent dernières années s’expliquent, selon nous, mis à part l’influence technogène de l’homme, essentiellement par la versatilité naturelle ». Autrement dit, « par les liens Soleil-Terre, par l’activité solaire et d’autres facteurs ».
Il est facile de se convaincre, si l’on analyse les facteurs cosmogéophysiques, qu’il y a trois ou quatre ans, ces facteurs étaient au plus bas, et que d’ici quelques années la tendance au réchauffement climatique finira par évoluer vers un refroidissement progressif, poursuit Lev Karline. « Il y a tout lieu de penser que les prévisions augurant un réchauffement climatique ne vont pas se justifier : dans les prochaines décennies, nous retrouverons les normes climatiques que nous avons connues dans les années 70 du XXe siècle, affirme le chercheur pétersbourgeois ».
A vous de forger votre propre opinion,
nous respectons votre libre arbitre !
Ce n’est pas la fin du monde, juste un grand changement climatique
Encore une fois dans l’histoire de l’humanité,
l’homme devra s’y adapter,
il en a la capacité, et la volonté….
Source :
http://www.pensee-unique.fr
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D’ici quelques temps : prévoir grosse doudoune !